Confession 5 : J'aime bien le froid mais...
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Mais le froid sibérien me... glace (désolée, je n'ai pas trouvé un mot plus original). Ma peau se fendille. Mes pieds sont frigorifiques et je suis obligée de porter des chaussettes en laine (très seyantes). Ma voiture refuse de démarrer dès qu'il fait moins 5. Systématiquement. Mon lit refuse de me laisser sortir avant 10 heures le matin. Je ressemble à un bonhomme de neige dès que je sors (je suis blanche comme la neige et j'ai le nez rouge...). Et je souhaite être une ourse pour pouvoir hiverner jusqu'au printemps (les ours hivernent, ils n'hibernent pas. Le petit cours de culture, c'est cadeau :). Bref, mon rêve de ressembler à une héroïne de comédie romantique (cheveux luisants, joues rougies marchant sous une fine averse de neige alors que les biches chantent une mélodie d'amour) est passée à la poubelle en ce début de semaine. J'ai froid. Très froid.
Confession 6 : J'ai trouvé une solution pour me réchauffer !
Après avoir tenté la laine (ça pique), le cachemire (c'est cher), l'hivernation (j'ai besoin de manger au moins 4 fois par jour) et l'augmentation du chauffage (il ne va pas au-delà de 30 degrés), il a fallu me résoudre à utiliser les grands moyens afin de faire face à ce froid polaire !““
“Alors j'ai empoigné mon Passeport valaisan pour trouver une idée "caliente" et je l'ai trouvée ! Une petite sortie entre filles à la Fromathèque de Martigny. Parce que si passer une belle soirée avec mes copines n'est pas suffisante pour me redonner goût à l'hiver alors je ne sais plus quoi faire...“
Confession 7 : J'aime le fromage
Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. Je n'ai jamais rêvé d'une maison en pain d'épice comme Hansel et Gretel étant petite. Non, je voulais travailler dans un magasin pour couper du fromage. Alors à la Fromathèque, je suis servie... Fromages de chèvre, de brebis, d'alpage, affinés, de raclette, tomme, d'Entremont, du Haut-Valais et de toutes les laiteries entre ces deux lieux (mais je n'ai pas osé demander à couper moi-même le fromage).
Evidemment, il fallait plus que du fromage pour convaincre mes copines de sortir par moins 15. Heureusement, un bar à vins est prévu pour découvrir les encaveurs de la région et passer un moment de détente et de rires.
Et pour les remercier d'avoir affronté le frimas (et de m'avoir régalée des derniers potins), j'ai profité de mon Passeport valaisan pour leur offrir une planchette. Et on y serait bien restées jusqu'à la semaine prochaine dans cette ambiance chaleureuse (oui, il y a le mot chaleur !)...
A bientôt (dans des conditions moins polaires) !